Trucs pour vous faire aimer la psychologie positive

Femme actuelle : ces trucs qui donnent envie d’adopter la psychologie positive

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Un article de Claudia Ferreira Da SIlva pour Femme Actuelle

Et si l’optimisme était une forme d’intelligence et non pas de la naïveté ? Voir la vie du bon côté ça se travaille grâce à la psychologie positive. Florence Servan-Schreiber auteure du livre 3 kifs par jour, nous dit tout sur cette philosophie de vie.

En plus de nous garder en bonne santé, voir le bon côté des choses aide à avancer dans la vie quelles que soient les épreuves, selon la coach Florence Servan-Schreiber. Depuis plusieurs années, cette dernière s’intéresse à la psychologie positive, ou l’art d’entraîner son cerveau à garder une dose d’optimisme en toutes circonstances. 

Ça vient d’où ?

Accroitre les émotions positives en plus de supprimer les négatives, c’est l’équation un peu farfelue qu’a eue le psychologue Norman Bradburn à la fin des années 60. Jusque-là, la psychologie s’était surtout attardée sur les cas de névrose et les pathologies négatives. « Elle nous a révélé beaucoup sur les défauts de l’homme, ses pathologies et ses péchés, mais fort peu sur ses potentialités, ses vertus, la possibilité d’accomplir ses aspirations et tout ce qui relève de son élévation psychologique. C’est comme si la psychologie s’était volontairement limitée à une seule moitié de son domaine de compétence — la moitié la plus sombre et la plus pernicieuse », expliquait alors le psychologue Abraham Maslow.

En 1998, Barbara Fredrickson offre les lettres de noblesse à ces recherches avec son article : « What good are positives emotions ? » (Qu’est-ce que les émotions positives ont de bon ?). Elle explique alors qu’elles « ouvrent l’esprit et élargissent la palette des pensées et des actions. Elles engendrent des comportements flexibles, accueillants, créateurs et réceptifs.» C’est ainsi, qu’elles sont devenues un sujet de recherches.

La psychologie positive, mais pourquoi faire ?

Un peu comme un sportif, on entraîne son cerveau à observer les bonheurs du quotidien. « On obtient une lecture différente de nos journées », explique Florence Servan-Schreiber. Au fil du temps, repérer les moments de bien-être du quotidien devient un jeu d’enfant et comme dirait l’autre : « on est bien à l’intérieur et ça se voit à l’extérieur ». Cette méthode apporte de la légèreté : « On fait en sorte que la vie soit plus sympa et agréable ».

Contrairement à la pensée positive, la discipline que défend Florence Servan-Schreiber n’impose de se sentir bien même en cas de coup dur. Au contraire, elle permet de trouver les clefs du soulagement.

Explication : « Si quelque chose de désagréable nous arrive, l’angoisse prend immédiatement le dessus. Le processus de dévalorisation va commencer. Dans ces moments-là, on peut se dire : “ok, cette fois-ci, je me suis loupé. Mais ça ne va pas déterminer la façon dont je ferais cette action la fois prochaine.“ À partir delà, l’optimisme est déclenché ».

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Devenez animateur.trice d’ateliers de psychologie positive
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