
Et bien voilà, tout s’explique. L’optimisme est non seulement génétique, mais c’est la principale raison pour laquelle l’humanité est encore là. Car c’est vrai, dans le fond, comme nous savons que nous allons tous mourir, il faut une sacré dose d’optimisme pour continuer à vivre, inventer, faire des enfants, construire des ponts et se lever chaque matin.
Un article très complet de Patrice van Eeersel dans le numéro de Clés de Décembre/Janvier en explore les définitions, les contours, les contextes et les espoirs de pouvoir développer notre dose personnelle. Car oui, il n’y a que des avantages à être un optimiste à tendance réaliste : meilleure santé, longévité accrue, plus d’amis, plus de succès, plus d’idées, embauché en priorité, plus vigilant, plus altruiste, plus à l’écoute des autres.
Et globalement plus débrouillard, même si ça c’est pas un terme de chercheur. Car l’optimiste fonce plus volontiers, quitte à tomber plus souvent, mais au mois au moins, il y va et elle aussi.
Moi aussiv
Triste de voir disparaître ce magazine si novateur dans les domaines de la recherche du sens de la vie….
De plus j’aimais aussi beaucoup les articles de Patrice Van Eersel, dont je lis actuellement son dernier livre. Si je pouvais avoir la liste des numéros de clés auxquels il a participé.
Merci pour être allée de l’avant, mais je suis sûr qu’une nouvelle aventure lui succèdera.
Félicitations.
Édouard Stefanik
Je ne connais pas la revue, mais la couv fait envie 🙂
« optimiste à tendance réaliste » : je retiens le qualificatif!