Les comédies musicales des grandes heures des années 1960-80 m’ont bercées. Leurs plus belles chansons (« supercalifragilisticexpialidocius », « Edelweiss », « I feel pretty« ….) ont accompagné des générations entières et sont restées dans les mémoires.
C’est précisément le rôle de Maria, incarné avec tant de fraîcheur par Julie Andrews, dans la Mélodie du Bonheur qui m’a donné envie de monter sur des scènes dès l’âge de 10 ans. Je l’ai avoué lors de ma conférence Audace et des Espoirs donnée, il y a peu, dans un théâtre parisien. Et surprise, me voici invitée par une de mes amies d’enfance à découvrir le spectacle que je n’attendais pas.
Léa Desandre, Thomas Dunford et l’Ensemble Jupiter nous ont donné, le temps d’une soirée, Chasing Rainbows, à l’Opéra Comique. Ils y explorent le répertoire de Julie Andrews, emprunt de drôlerie, de rêves, de douceur et de poésie. Un hommage à cette période à travers un concert composé de ses chansons les plus connues.
J’ai adoré la joie de son interprète aux talents en mille feuille : chant, claquettes, comédie, danse et gymnastique, dans des costumes réjouissants. J’ai eu la chair de poule, lorsque la salle comble reprenait en coeur « Do, Ré, Mi » que nous connaissions toutes et tous par coeur.
Le spectacle tourne et reviendra, un moment de grâce à ne pas manquer !
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