Sport et bien être : un article Ouest France

Ouest France : comment le sport agit sur notre bien-être

Presse
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Récemment, le tennisman Novak Djokovic a indiqué qu’il ne « ressentait plus cette joie intérieure de jouer ». L’occasion de se pencher sur la question : quels sont les effets réels du sport sur notre cerveau ?

Du simple bien-être aux vertus antidépressives, Florence Servan-Schreiber, professeure de bonheur et auteure du livre 3 kifs par jour, nous éclaire sur le sujet.

Sport et bonheur

Pour comprendre le lien entre le sport et le bonheur, il est avant tout essentiel de cerner la relation entre le cerveau et le corps humain. « Le cerveau est un morceau d’un ensemble que représente le corps humain. Ce dernier a besoin que le cerveau soit en bon état de fonctionnement et inversement, indique Florence Servan-Schreiber. On imagine souvent le contraire mais les deux ne sont pas séparés. »

En pratiquant un exercice physique, les capacités mentales se retrouvent boostées. « Il existe trois liens : l’activité physique et l’humeur, l’activité physique et le taux global de satisfaction et l’activité physique et les capacités cognitives (mémoire) », précise la professeure de bonheur, auteure du livre 3 kifs par jour (éditions Marabout, 2011).

Le sport, source de bien-être

Si le sport requiert souvent un effort important, parfois synonyme de douleur, il peut être aussi source de plaisir et de bien-être. Car pratiquer un exercice physique va déclencher des sécrétions de dopamine (aussi appelé le neurotransmetteur du bonheur). En grande quantité, cela va nous rendre particulièrement positif.

« Après un exercice de cardio, on se sent moralement bien. On est de bonne humeur. » Des études récentes montrent que les endorphines (opiacés naturels), hormones secrétées par notre cerveau, sont libérées en quantité plus importante chez les athlètes qui réalisent de longues courses d’endurance.

Le sport, un antidépresseur naturel

Cette libération d’endorphines provoquée dans le cerveau a suscité l’intérêt des chercheurs travaillant sur les phénomènes de dépression. Trois cas ont été alors expérimentés sur des patients.

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Publié le 28 avril 2017

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