1 ère signature

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Ca n’est pas rien, le premier défilé de futures lectrices et de lecteurs à venir. La librairie La Cornaline est un endroit joyeux, pleines de grigris qui soignent et d’huiles essentielles. Abritée sous un arbre en pierres semi précieuses, j’ai enchaîné les mots doux au stylo. Rouge, rose, orange, j’en avais de toutes les couleurs de 3 kifs par jour. Certains tordaient le nez en goûtant un verre de Kombucha, c’est vrai que c’est particulier, la première fois. Mais la nouveauté réveille, stimule et élargit. Alors ça se marie bien avec un livre de kifs.

J’y ai retrouvé Antoine, mon copain de 5è qui vient d’avoir un bébé, Thomas, compagnon de fêtes adolescentes jamais revu depuis, mais aussi une nuée de cousines et de copines. Et puis il y a avait des clients. Des vrais, avec lesquels je n’ai pas grandi et ça m’a fait un drôle d’effet. Logiquement, même à cela, je finirai par m’habituer. Mais pour le coup, je ne suis vraiment pas pressée de considérer que les sourires que provoquent ce livre sont naturels et attendus. Que le plaisir qu’occasionne un mot personnel sur une page est équivalent à celui que je prends d’en apprendre un peu plus sur chacun. L’achat de ce livre serait un acte de bienveillance pour soi et pour les siens. Ca n’est pas moi qui le dit. Il parait qu’il « fait du bien ».

C’est Katia qui m’a présenté à Yves, le patron de la librairie. Elle était en voyage hier et on s’est dit qu’elle nous a bien manquée.

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Devenez animateur.trice d’ateliers de psychologie positive
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3 commentaires sur “1 ère signature”

  • sonia dit :

    Pour moi, c’était orange! et improvisé! Un kif surprise…
    Merci encore,

    Sonia

  • Sime dit :

    Allez aussi voir du Kombucha !
    Bravo Florence

  • ally dit :

    Contente de voir que cela s’est bien passée. D’abord Kombucha powaa ! Hier je suis allée au resto, à ma droite il y avait un homme et une femme, des retrouvailles, des anciens collègues ou anciens amants. Je ne sais pas. Mais ils avaient l’air un peu stressés et se posaient des questions sur le bonheur. Je n’ai pas osé les déranger vu la tension ambiante, mais j’ai pensé très fort que ton livre leur ferait du bien…

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